dimanche 23 octobre 2011

Le scaphandre et le papillon de Jean-Dominique Bauby



4ème de couverture:

 Le 8 décembre 1995, brutalement, un accident vasculaire a plongé Jean-Dominique Bauby dans un corna profond. Quand il en est sorti, toutes ses fonctions motrices étaient détériorées. Atteint de ce qu'on appelle le "locked-in syndrome" - littéralement : enfermé à l'intérieur de lui-même -, il ne pouvait plus bouger, manger, parler ou même simplement respirer sans assistance. Dans ce corps inerte, seul un œil bouge. Cet œil - le gauche -, c'est son lien avec le monde, avec les autres, avec la vie. Avec son œil, il cligne une fois pour dire "oui", deux fois pour dire "non". Avec son œil, il arrête l'attention de son visiteur sur les lettres de l'alphabet qu'on lui dicte et forme des mots, des phrases, des pages entières... Avec son œil, il a écrit ce livre : chaque matin pendant des semaines, il en a mémorisé les pages avant de les dicter, puis de les corriger. Sous la bulle de verre de son scaphandre où volent des papillons, il nous envoie ces cartes postales d'un monde que nous ne pouvons qu'imaginer - un monde où il ne reste rien qu'un esprit à l'œuvre. L'esprit est tour à tour sarcastique et désenchanté, d'une intensité qui serre le cœur. Quand on n'a plus que les mots, aucun mot n'est de trop


Mon avis:

Une histoire déchirante qui me fait beaucoup pensé à "je vous demande le droit de mourir" de Vincent Humbert. Un livre qui se lit d'une seule traite et qui nous fait poser beaucoup de questions et m'amène sur la réflexion à savoir sur la façon dont les patients, les résidents nous voient.
J'imagine le courage qu'il à fallut à cet homme pour pouvoir "écrire" ce roman et à la patience et la détermination qu'il à fallu avoir.
Il s'agit d'une belle leçon de vie et nous rappel encore une foi que la vie ne tien pas à grand chose et qu'il faut savoir profiter de chaque moment.

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